lundi 11 mars 2013
HIV Tourism
If you ever want to know what is going on socially in South Africa, what you will most likely hear about is rape, criminal impunity and most importantly HIV. South Africa has an alarming rate of HIV that estimates 10,9% of the population being contamined... And that's only the official cases; it would be too much money and effort on recensing the status of all the south african population. Officially, it's the country with the highest HIV + rate, but many suspect situation could be equivalent or worst in neighboring countries of Zimbabwe, Namibia, Swaziland and Mozambique. It's normal then to see the government taking action in those circumstances, and that's the reason why free, fast and accessible testing is offered on the campus this week. I personnally never been tested before, and even though I was sure about my HIV - status, the process is scary... You are in the waiting room and expect that maybe the test will show two bars, and thus you will be tested positive. I have been told that it is always good to get tested regularly, but I have never done it in Montreal. And why is that? Because I did not know where the f**k I could be tested fast. Howcome, I get my first test in Africa? Why aren't any permanent clinics on campus back home? I think I need to talk to Madame la Première Ministre about that.
Si jamais vous voulez vous tenir au courant de ce qui se passe en Afrique du Sud, ce que vous entendrez sera probablement autour de la thématique du viol, de l'impunité criminel et par-dessus tout autour du VIH. L'Afrique du Sud a un taux alarmant de HIV par habitant qui oscille autour de 10,9%... Et selon les sources officielles seulement; ce serait investir trop d'argent et d'efforts pour recenser le statut de toute la population sud-africaine. Officiellement, c'est le pays avec le plus haut taux, mais on soupçonne que les pays voisins, soient le Zimbabwe, la Namibie, le Swaziland et le Mozambique auraient des situations équivalentes ou pires. C'est donc normal de voir le gouvernement prendre action dans ces circonstances, et c'est la raison pour laquelle on pouvait se faire tester facilement et rapidement sur le campus cette semaine. Personnellement, je n'ai jamais été testé auparavant, et malgré la certitude de mon propre statut, je ne pouvais m'empêcher d'être nerveux... Dans la salle d'attente, la seule chose à laquelle je pouvais penser était la possibilité que le test affiche deux barres plutôt qu'une, annonçant un réaction positive au VIH. On m'a dit que c'est toujours bien de se faire tester régulièrement, mais je n'ai jamais eu la chance de le faire à Montréal. Et pourquoi cela? Parce que je ne savais pas où je pouvais trouver une p*tain de clinique pour le faire d'une manière rapide et certaine. Comment ça se fait que mon premier test à eu lieu en Afrique? Pourquoi n'y a-t-il pas des campagnes de dépistage sur les campus québécois? Je pense que je dois en parler à Madame la Première Ministre.
Tschüss!
- Tristan
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